Posté sur: Modifié:
Le ministère français de l’Éducation nationale a confirmé que l’enseignement des langues régionales dans les écoles publiques a été approuvé, suite aux préoccupations soulevées suite à la décision du Conseil constitutionnel en mai.
Malgré les inquiétudes soulevées lors de l’audit par le Conseil constitutionnel d’un article de la législation protégeant le patrimoine des langues régionales, le ministère de l’Éducation nationale a publié cette semaine une circulaire confirmant la possibilité d’immersion et d’enseignement des langues régionales.
on l’appellera ainsi loi Moloch Adopté le 8 avril, pour étendre l’enseignement de la langue régionale privilégiée dans l’enseignement public, notamment par le biais d’un enseignement accéléré dans les langues régionales telles que le basque, le breton, l’occitan, le catalan et l’alsacien.
Aussi connu comme l’église « Sages » – a jugé que cet article était incompatible avec l’article 2 de la Constitution, qui dispose que « la langue de la République est le français ».
Manifestations généralisées
Les écoles qui proposent un enseignement expéditif, comme Diwan en breton, Icastola en basque ou ABCM en alsacien, proposent la plupart de leurs cours en langue régionale.
Ils ont Loi des « Associations », Souvent sous contrat avec l’Etat, pour suivre le cursus national français.
L’audit du Conseil constitutionnel en mai a inquiété de nombreux défenseurs et défenseurs des langues régionales, qui craignaient la survie des écoles bilingues.
Le 29 mai, plusieurs milliers de personnes ont manifesté pour protéger les écoles de Bretagne, de Catalogne française et du Pays basque.
Jeudi, le ministère de l’Éducation a pris du recul et a publié une circulaire disant que « l’enseignement en immersion » est une stratégie d’apprentissage bilingue qui soutient et ne contredit pas « l’apprentissage de la langue française ».
Ces apprentissages sont évalués tout au long de la scolarité des élèves, notamment lors des évaluations continues jusqu’au primaire, en tenant compte du caractère unique des unités bilingues.
« Si le niveau de maîtrise de la langue française n’est pas suffisant, les étudiants se verront proposer une solution et un accompagnement », précise le texte.
Préservation du patrimoine régional
Pio Zorajuria, président Fédération de Chesapeake Dans les écoles basques, le Blue Pace Basque de France : « Tant que cette circulaire existe, nous sommes protégés.
En vertu de la Constitution française, le français doit être la langue de communication utilisée par le personnel des écoles bilingues pour les parents et les partenaires institutionnels.
« Ninja de la culture pop. Fan des médias sociaux. Solutionneur de problèmes typique. Praticien du café. Tombe beaucoup. Féru de voyages. »