Les législateurs algériens cherchent à criminaliser la normalisation d’Israël

La Société pour la paix (MSP) cherche à criminaliser toutes les formes d’accords par défaut avec Israël dans un projet de loi soumis au parlement nord-africain.

Un groupe de législateurs algériens cherche à criminaliser toutes les formes d’accords par défaut avec Israël, Presse algérienne Signalé mardi.

Le projet de loi, présenté par le Mouvement pour une société pour la paix (MSP), interdit les voyages en Israël et inclut toutes les formes de contacts directs et indirects.

Le porte-parole du MUSF, Youssef Adjissa, a déclaré dans une déclaration à la Turquie qu’il avait « déposé le projet de loi pour la présidence du parlement au nom de la délégation de son parti ». Anatol Société.

Adjissa a déclaré que la commission parlementaire de son parti avait tenté d’inclure d’autres commissions dans le projet de loi mais n’avait pas répondu.

Le MSP est le plus grand parti islamiste en Algérie, affilié aux Frères musulmans. C’est également le plus grand parti d’opposition au parlement de ce pays d’Afrique du Nord.

La parlementaire algérienne Amira Selim a présenté un projet de loi similaire en janvier de l’année dernière, mais les projets d’adoption du projet de loi ont échoué après la dissolution du parlement par le président algérien Abdelmadjit Debon en février de la même année.

Adjissa a déclaré que le projet de loi avait été présenté pour marquer le 74e anniversaire de la Journée de la Nakba, qui commémore le déplacement forcé de centaines de milliers de Palestiniens lors de la création d’Israël en 1948.

Le projet de loi contient sept articles qui interdisent l’ouverture de bureaux de représentation en Israël.

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Le projet de loi requiert une majorité dans la première chambre du parlement pour être approuvé, puis envoyé à la deuxième chambre pour approbation finale.

L’Algérie n’a pas de relations diplomatiques ou commerciales avec Israël et a toujours exprimé son soutien officiel à la cause palestinienne.

En décembre dernier, le président Debon avait promis 100 millions de dollars d’aide aux Palestiniens, « en gardant à l’esprit l’histoire révolutionnaire de l’Algérie et l’engagement de tout le peuple algérien à soutenir une cause palestinienne juste en toutes circonstances ».

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