Établit la voie de l’économie de la connaissance en Algérie

Le Premier ministre Abdelaziz Djerot a déclaré que le gouvernement algérien avait établi une feuille de route claire pour une transition rapide vers une économie basée sur la connaissance.

Lors de la conférence Aaron Descript 2021 sur les startups, il a souligné la nécessité d’impliquer tous les acteurs en Algérie ou à l’étranger pour atteindre cet objectif.

Il a expliqué que l’économie nationale a actuellement besoin d’entreprises qui ajoutent une valeur réelle et d’entreprises qui s’appuient sur la recherche et le développement pour fournir des services et des produits innovants.

Il a souligné que le gouvernement a décidé de soutenir les innovateurs où qu’ils se trouvent, en établissant un cadre réglementaire pour les start-ups et les fonds d’investissement afin de garantir un financement fluide des projets innovants, ainsi que des incitations fiscales importantes conformément à la loi de finances 2021.

Djerot a dévoilé le lancement du premier plan pour les start-ups, qui aura des succursales à travers le pays.

Parallèlement, les réserves de change du pays ont atteint 42 milliards de dollars, contre 60 milliards de dollars au premier trimestre de 2020.

Plus tôt ce mois-ci, le président Abdelmadjit Deboun a calculé que les revenus pétroliers pour l’année étaient de 24 milliards de dollars, en baisse de 60 milliards de dollars à 42 milliards de dollars sur une base hebdomadaire.

La baisse des prix mondiaux du pétrole a frappé le plus durement l’Algérie, car elle est membre de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP), où les exportations de pétrole et de gaz représentent 60% du budget de l’État et 94% des recettes d’exportation totales.

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En avril 2019, le solde a atteint 72,6 milliards de dollars, contre 79,88 milliards de dollars en décembre 2018 et 97,33 milliards de dollars à la fin de 2017.

L’Algérie dépense 45 milliards de dollars par an sur ses réserves de change pour acheter des biens et services importés.

Le gouvernement tente de réduire le coût des importations pour atténuer la pression financière causée par la baisse des revenus pétroliers et gaziers.

« La nouvelle tendance économique est de permettre à l’économie nationale d’importer uniquement ce dont elle a besoin », a souligné Debowne.

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