HCDH : des ONG algériennes et internationales condamnent les graves atteintes aux droits en Algérie

L’Assemblée générale des Nations Unies en cours à Genève Lors de la 47e session du Conseil des droits de l’homme, un certain nombre d’ONG algériennes et internationales ont statué en Algérie sur des « violations massives et flagrantes des libertés fondamentales ».

À cet égard, l’organisation bénévole suisse « Promouvoir le développement économique et social » du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme Michael Bachelet et spécial ONU. A remis une déclaration écrite aux organisations, dénonçant « une répression policière inhumaine et brutale » contre la démocratie populaire. Hirak et de nombreux opposants, journalistes et militants arrêtés.

Les opposants exigent un changement de régime, l’établissement d’un État civil et démocratique, et non d’un État contrôlé par l’armée. Ils demandent également l’expulsion et l’enquête de tous les responsables de la crise sociale, économique, financière et politique sans précédent dans le pays.

Chaque semaine, l’ONG « Promotion du développement économique et social » (PDES) a indiqué que l’armée algérienne tentait de bloquer l’accès à la capitale et aux grandes villes pour empêcher les manifestations contre le régime dictatorial et répressif depuis 1962.

Cependant, l’ONG a ajouté que les manifestants anti-gouvernementaux « poursuivaient leur mobilisation pour établir un changement et nommer un gouvernement de consensus présidentiel et national, qui ne sera pas imposé par les militaires ».

En novembre 2020, le régime militaire a imposé une nouvelle constitution avec un vote de 23,7% sur les citoyens algériens, citant des rapports de plusieurs ONG internationales de défense des droits humains et du département d’État américain décrivant la situation en Algérie. C’est très inquiétant. »

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Lors de cette 47e session du Conseil des droits de l’homme de l’ONU, 82 autres organisations algériennes et internationales ont rejoint le Haut-Commissariat aux droits de l’homme (HCDH) et toutes les autres agences de l’ONU. Les organisations devraient également être appelées et travailler pour faire face à la dangereuse augmentation répressive des autorités algériennes contre les autorités algériennes. Forces pro-démocratiques.

Dans une lettre conjointe adressée au HCDH, il a souligné la nécessité d’une réponse urgente à la répression croissante des autorités algériennes contre l’opposition et les forces indépendantes pour criminaliser sans relâche ces organisations bénévoles.

Les 82 signataires ont exhorté les États membres à demander des enquêtes rapides, indépendantes, impartiales et efficaces sur les actes de torture et autres mauvais traitements commis par les autorités algériennes.

Ces ONG « ont demandé aux Etats de prendre une position publique plus ferme pour protéger les Algériens et leur droit à la liberté d’expression, d’association et de réunion pacifique ».

Selon la presse, les signataires ont joint à leur lettre une note contenant des informations détaillées sur l’évolution de la situation des droits humains en Algérie entre mars et mai 2021.

Le Conseil des droits de l’homme tient trois sessions ordinaires par an, pour un total d’au moins dix semaines. Les sessions auront lieu en mars (quatre semaines), juin (trois semaines) et septembre (trois semaines).

La 47e session aura lieu du 21 juin au 13 juillet 2021. Le Conseil des droits de l’homme est un organe gouvernemental des Nations Unies, composé de 47 États, qui est habilité à promouvoir et à protéger les droits de l’homme dans le monde.

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