Marco Rubio appelle le ministère des Affaires étrangères à défendre la liberté religieuse en Algérie

Cette semaine, NOUS. Sénateur Marco Rubio, R-Fla., Rejoint Sens américain. Tim Caïn, D-Co., Tham Dillis, R-NC, Cory Booker, D-NJ, et Ben Cardin, D-Mary., En envoyant une lettre NOUS. État Anthony Blingen Exige que Département d’État américain Prendre des mesures contre le traitement intégré et discriminatoire des membres des groupes religieux minoritaires AlgérieComprenant Chrétiens protestants Et ça Ahmadiyya musulman Social.

Les sénateurs ont exhorté le gouvernement algérien à se conformer à ses obligations internationales et constitutionnelles en matière de liberté religieuse.

La lettre est ci-dessous.

Cher Secrétaire Blingen :

Nous écrivons sur les événements récents en Algérie, qui témoignent du développement d’un traitement intégré et discriminatoire des membres des groupes religieux minoritaires. Ces groupes comprennent la communauté musulmane Ahmadiyya et les chrétiens protestants. Ces incidents comprennent de récentes allégations criminelles contre le gouvernement algérien, les Ahmadis et les chrétiens, des attaques diffamatoires ou sectaires, ainsi que des fermetures d’églises discriminatoires contre les chrétiens protestants en Algérie (Eglis Protestant de Algeri, ou EPA). Nous exhortons les hauts responsables étrangers en Algérie à faire part de ces préoccupations, à accélérer l’enquête sur ces incidents et à mettre fin à toute pratique discriminatoire conformément aux obligations internationales et constitutionnelles de l’Algérie en matière de liberté religieuse.

Dans son dernier rapport sur la liberté religieuse internationale, le Département d’État américain a décrit plusieurs exemples de musulmans d’Ahmadinejad injustement ciblés par le gouvernement algérien. Par exemple, en décembre 2020, des dizaines d’Ahmadis ont été jugés par un tribunal de Washington DC pour avoir insulté le Prophète, distribué des brochures religieuses et s’être livrés à un culte non enregistré. Ceci malgré le refus du gouvernement algérien d’accorder le statut religieux officiel aux Ahmadis (malgré les tentatives de s’inscrire au poste du comité). De même, d’autres Ahmadis ont été injustement emprisonnés et détenus sans discrimination. La Commission américaine sur la liberté religieuse internationale a exprimé sa préoccupation face au nombre croissant d’Ahmadis en Algérie. En janvier 2020, un chrétien de la province d’Aaron a été arrêté pour avoir partagé une image anti-islamique sur les réseaux sociaux. Un an plus tard, en janvier 2021, il a été reconnu coupable et condamné à un maximum de cinq ans de prison. La peine a été confirmée en mars 2021. En décembre 2020, au moins deux chrétiens ont été emprisonnés pour diffamation. Un autre chrétien protestant – un pasteur – a été accusé de prosélytisme en février 2021, et ses appels se poursuivent.

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L’Algérie est signataire du Pacte international relatif aux droits civils et politiques, qui garantit le droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion. L’article 51 de la Constitution algérienne garantit la liberté de conscience, d’opinion et de culte. Ces actions récentes semblent être en violation à la fois du droit international et de la Constitution algérienne, qui fait référence à la persécution systématique et croissante des minorités religieuses. Conformément à ses obligations internationales, le gouvernement algérien doit libérer les Ahmadis et les chrétiens condamnés pour diffamation ou charges connexes, assurer leur protection contre toutes représailles et leur garantir le droit d’exercer librement individuellement et socialement. Autres.

En décembre 2020, le Congrès a adopté à une écrasante majorité une résolution bipartite appelant à l’abrogation de la diffamation, de la politique antireligieuse et des lois sur l’hérésie dans le monde, réaffirmant l’engagement bipartite en faveur de la liberté religieuse internationale. Dans cet esprit, nous réaffirmons notre profonde préoccupation pour le traitement des groupes religieux minoritaires en Algérie, et reconnaissons que la liberté de pratiquer librement sa foi est l’une des valeurs les plus sacrées de notre pays et un droit humain universel. Nous vous exhortons à continuer de promouvoir une politique étrangère qui promeut la liberté religieuse dans le monde et à prendre des mesures sévères contre les pays qui se livrent ou tolèrent de graves violations de la liberté religieuse.

Merci de votre attention sur ces sujets.

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