Afreximbank a accepté l’Algérie comme son 52ème membre

La Banque africaine d’import-export (Afreximbank) a annoncé que l’Algérie a rejoint la banque en tant que 52e pays membre.

Cela a été contenu dans une déclaration du responsable de la liaison avec les médias de la banque, M. Amadou Sal, à Abuja vendredi.

Les États membres d’Afreximbank passeront de 38 en 2015 à 51 en 2021, avec l’adhésion de l’Algérie, la banque n’est plus qu’à trois États d’atteindre une couverture continentale complète.

L’annexion de l’Algérie à l’accord portant création d’Afreximbank le 8 juin Décret présidentiel no. Codifié par 22-212.

« La souscription des actions du pays dans le cadre de l’adhésion à Afreximbank est également le 14 juin 2022 par décret présidentiel n° 2020-2022. Autorisé par 22-222.

« L’Algérie devient actionnaire de classe de la banque et sera représentée par le ministère algérien des Finances. »

L’Algérie a la neuvième plus grande population et la quatrième plus grande économie en Afrique.

Il est également membre de l’Union africaine, de la Zone de libre-échange continentale africaine (AfCFTA) et de la Grande zone de commerce arabe.

Président d’Afreximbank et Président du Conseil d’administration Prof. « L’adhésion de l’Algérie à Afreximbank est significative », a déclaré Benedict Oramah, cité par le rapport.

« Cela amène la 4ème plus grande économie d’Afrique dans la famille Afreximbank.

« Cela crée une plate-forme pour l’intervention de l’AfCFTA d’Afreximbank et ouvre la voie à une coopération plus approfondie entre la banque, le gouvernement algérien, la banque centrale algérienne et les importateurs et exportateurs algériens. »

Orama a déclaré que la banque attend avec impatience un partenariat fructueux qui aidera l’Algérie à se positionner comme un acteur important du commerce et des investissements africains.

NAN rapporte qu’Afreximbank est une institution financière multilatérale panafricaine.

Afreximbank utilise des structures innovantes pour transformer la structure du commerce de l’Afrique, accélérer l’industrialisation et le commerce intra-régional, fournissant ainsi des solutions financières qui favorisent l’expansion économique en Afrique. (NAN)

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