Des groupes algériens de défense des droits humains et un groupe de militants ont appelé les autorités algériennes à mettre fin à la nouvelle vague de droits constitutionnels et de violations de la liberté d’expression, de réunion et d’association.
Dans une récente déclaration commune, ils ont appelé à la libération immédiate des objecteurs de conscience, des indépendants et des syndicalistes détenus, et ont exigé que les autorités algériennes cessent de poursuivre les militants pro-démocratie et abrogent les lois illégales sur le génocide utilisées pour confondre les critiques du larynx et le larynx. Célèbres adversaires Hirok.
2022 commence avec la montée de la répression ciblant les universitaires, les journalistes, les avocats et les représentants de la société civile. Les signataires du rapport disent qu’il s’agit d’une extension dangereuse de l’avenir et de l’unité de l’Algérie, et qu’elle est soumise à des sanctions internationales pour non-respect des engagements en matière de droits humains.
La Ligue Algérienne des Droits de l’Homme (LADDH), le Référentiel International, l’Association pour le Changement et la Démocratie en Algérie, la Confédération Syndicat des Forces Productives (COSYFOP), le Rassemblement des Jeunes pour l’Algérie (RJPA), le Personnel de l’Administration Publique Nationale et les Autonomes Syndicat, professeurs d’université, hommes politiques et représentants de la société civile.
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