ALGER – La diplomatie algérienne, pierre angulaire de la nouvelle Algérie, s’est fortement impliquée dans un certain nombre d’activités suite à sa redistribution en 2021 pour contribuer à la résolution des crises aux niveaux africain et arabe, notamment en Libye et au Mali.
Depuis l’indépendance, la diplomatie algérienne a joué un rôle clé dans la résolution des crises et conflits internationaux et régionaux, en s’appuyant sur les nombreux fondements et politiques qui constituent sa politique étrangère, à savoir la stabilité de ses positions, la non-ingérence dans les affaires intérieures des pays, et résoudre les conflits de manière pacifique.
Après une impasse, il est devenu un fait indéniable que la diplomatie algérienne sera rétablie et qu’elle reviendra sur le devant de la scène, emmenée par le président Abdelmadjit Debone, qui a remis le ministère des Affaires étrangères et la communauté nationale à l’étranger à ceux qui ont de l’expérience. Ramdane Lamamra.
Quant au dossier libyen, la diplomatie algérienne a réaffirmé sa position en faveur d’une solution politique dans ce pays voisin, rejetant le dialogue libyen-libyen et toute intervention étrangère. Entreprises unies.
Dans le cadre de ses efforts pour libérer la Libye de sa position, l’Algérie a organisé une réunion de deux jours des voisins libyens fin août.
En ce qui concerne la Coupe du Mali, l’Algérie continue d’appeler à l’accélération de la mise en œuvre de l’accord de paix et de réconciliation résultant du processus d’Alger, en vue d’instaurer une stabilité durable dans ce pays.
En août dernier, à l’issue de la 17e session du Groupe stratégique bilatéral algéro-malien, Ramdane Lamamra a co-organisé une délégation conjointe conduite par le Maldivien Abdule Dioup, en visite en Algérie. L’engagement de l’Algérie pour la paix et la réconciliation au Mali à travers un dialogue cohérent avec toutes les parties
Pour sa part, le président de la République, Abdelmadjit Debon, a souligné auprès de l’Algérie l’engagement indéfectible de l’Algérie à remplir son rôle de chef de la médiation internationale et de chef de l’organe de contrôle chargé de la mise en œuvre de cet accord.