ALGER – Le plan d’action du gouvernement pour la mise en œuvre du Programme présidentiel, qui a été approuvé lundi dernier par le Conseil des ministres, lors d’une réunion extraordinaire présidée par le président Abdelmadjid Tebboune, s’articule autour de cinq grands chapitres dans le but de lancer d’importantes réformes structurelles.
Le chapitre inclus dans le plan d’action du gouvernement, qui sera bientôt présenté pour discussion et approbation par le Parlement, est consacré au « renforcement de l’État de droit et de la gouvernance, à la promotion de la justice, des libertés, du dialogue et de la consultation, à la construction d’un gouvernement libre et responsable de la société civile. société, liberté de réunion, manifestation pacifique et liberté de la presse.
A travers son plan, le gouvernement cherche à parvenir à « une gouvernance développée afin d’assurer une « gestion transparente des finances publiques ».
Selon le texte, « le gouvernement poursuivra ses efforts pour développer les services publics, y compris les services de base, en termes de qualité et d’accessibilité ».
Le plan d’action du gouvernement souligne également l’importance de « promouvoir et protéger les composantes de l’identité nationale, de la mémoire, de la religion et de la culture ».
Dans le domaine économique, le gouvernement entend « renforcer les fondements de la relance économique, de la modernisation du système bancaire et financier, de la réforme du secteur public commercial et de la gouvernance des institutions publiques ».
Dans son plan, le gouvernement attache une grande importance aux secteurs de l’agriculture, de la pêche, des industries pharmaceutiques et du tourisme, tout en encourageant une politique commerciale en faveur des exportations hors hydrocarbures, en évaluant la production nationale et en rationalisant les importations, en plus de promouvoir les exportations et de faciliter les exportations. Exporter avec le développement du partenariat public-privé.
En matière d’éducation, le gouvernement va « améliorer la qualité de l’éducation en favorisant les conditions culturelles et sportives ».
Le gouvernement a souligné dans son plan d’action que « le succès de toute réforme dépend aussi d’un facteur crucial, sinon décisif, qui est les ressources humaines ».