Le président algérien Abdelmadzi Deboun a assuré à la population que le gouvernement contrôlait la détérioration de la situation économique et la crise sanitaire du pays.
Dans une interview télévisée diffusée à la télévision officielle algérienne, le président a déclaré que le taux de croissance économique devrait être de 3,8% et que la valeur des exportations hors hydrocarbures devrait atteindre 2,1 milliards de dollars d’ici la fin de 2021.
DePaun a révélé que la plupart des entreprises publiques avaient suspendu leurs opérations à la suite de l’épidémie du gouvernement du 19 décembre et que les réserves de change difficiles atteignaient 44 milliards de dollars sans donner d’autres détails sur la situation économique difficile dans laquelle des dizaines d’entreprises privées ont été fermées.
Le président a évoqué les luttes de la jeunesse dans les régions du sud, notamment dans la province d’Owarkla. Il a souligné que certains partis avaient provoqué des protestations ces dernières semaines : « Nous ne permettrons pas que nos jeunes soient exploités politiquement. […] L’Algérie étant un pays de jeunes, ce gouvernement prend en compte les préoccupations de tous les citoyens, en particulier les jeunes.
Debunn a refusé de commenter l’existence de « prisonniers d’opinion ». Il a déclaré que des dizaines de personnes condamnées par le tribunal pour emprisonnement ou dans des affaires judiciaires ont été accusées de diffamation.
La Ligue algérienne de défense des droits de l’homme a répondu que près de 200 détenus n’étaient « pas interrogés après plusieurs mois de détention provisoire ».
« Ils n’ont pas été poursuivis pour diffamation ou diffamation, mais pour leurs commentaires et allégations liés aux droits politiques et civils », a-t-il souligné lundi dans un communiqué.
Commentant la volonté de son pays de rouvrir la frontière algérienne avec les récentes déclarations du roi du Maroc Mohammed VI, le président a déclaré : « Un diplomate marocain a récemment publié une déclaration très dangereuse qui nous a amenés à retirer l’ambassadeur à Rafat.
Il a ajouté : La question du Sahara occidental est entre les mains des Nations Unies, nous ne sommes que des observateurs, pas une partie. Nous sommes prêts à tenir une réunion entre le Front Policario et le Maroc pour trouver une solution à ce problème.