Découverte révolutionnaire : Chandrayaan 2 Orbiter H2O trouve sur la Lune

L’orbiteur Chandrayaan-2 de l’ISRO a détecté des molécules d’eau à la surface de la lune. Les chercheurs ont analysé les données obtenues par le spectromètre infrarouge d’imagerie de l’orbiteur et ont déclaré qu’il y avait eu un mouillage lunaire important et la détection sans ambiguïté des signatures OH et H2O sur la lune entre 29°N et 62°N de latitude.

La découverte révolutionnaire a également expliqué que la formation de molécules d’hydroxyle était due à un processus appelé altération spatiale (lorsque le vent solaire souffle sur la surface de la lune). Les molécules d’eau se trouvent dans les latitudes plus élevées de la lumière solaire la plus brillante aux latitudes plus élevées de la Lune.

Cette découverte est extrêmement importante pour l’exploration planétaire pour l’utilisation future des ressources, car de nombreuses missions internationales s’alignent sur la Lune au cours des prochaines années. Les molécules d’eau détectées sur la Lune peuvent être décomposées en oxygène que nous respirons afin que les astronautes n’aient plus à porter de combinaison spatiale, un débat qui est toujours sans fin.

L’oxygène créé à partir de l’eau ou du sol lunaire pourrait certes être utilisé pour la respiration, mais ce serait le travail de plusieurs siècles pour créer une atmosphère respirable autour de la lune. Il faut beaucoup de gaz pour créer une atmosphère au niveau d’une planète ou de la lune. De plus, la gravité de la Lune est faible, de sorte que la Lune ne conservera une atmosphère que pendant quelques milliers d’années.

Il y a des années, certaines des roches que les astronautes d’Apollo ont ramenées de la Lune contenaient des traces d’eau piégées à l’intérieur. Il a été émis l’hypothèse que deux cratères près des pôles auraient de la glace en surface, car ils ne sont jamais exposés à la lumière directe du soleil. Les sondes lunaires Clementine (USA, 1994) et Lunar Prospector (USA, 1998) ont fourni des preuves solides indiquant la présence de glace d’eau à 1 mètre sous la surface dans ces cratères ombragés en permanence, a confirmé Chandrayaan-1 (Inde, 2008) à l’aide d’un spectrophotomètre.

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