Épinglez les Springboks sur le périmètre de la base pour ne pas finir à 14 face au XV de France

La joie de l’Afrique du Sud après avoir remporté une victoire, 29 à 28, lors du récent quart de finale de la Coupe du monde. Sarah Messonnier/Reuters

Le staff sud-africain a exploité cette règle, invoquant des perturbations inexistantes, pour permettre aux joueurs de quitter la zone. Ceci n’est pas possible dans ce cas.

Sur les réseaux sociaux, David Reporcier, arbitre de rugby dans les compétitions amateurs, a pointé du doigt un échec inattendu lors de la dernière journée, alors que les discussions s’ouvraient sur les décisions tricolores et arbitrales. Sur

La chronologie commence en 45H Semblable à 51H Minute du quart de finale contre la France. L’Afrique du Sud connaît sept changements et n’a pas envie de le remplacer la dernière fois. Ren pour référence et preuve de ce pitch. C’est le cas du 61H Minute Q pas de même parcours de situation.

Touchez une palette limitée de Damian Penaud, Pieter-Steph du Toit Reste au Sol. Il y a une agitation protocolaire requise et Duane Vermeulen, prenant plus de dix minutes, pour remplacer le temps de test. La règle est de respecter la lettre. Une règle stipulant que l’arbitre doit être exécutoire dans les quelques minutes (en temps réel, après que le jeu soit régulièrement chronométré par l’arbitre, définissant la clarification des règles) après le début du jeu, retarder à nouveau le déclenchement peut vous remettre sur le terrain.

Ou, si Toit satisfait Bien au Protocole Commotion, il ne reviendra pas au jeu au-delà des minutes de septembre. En litige alors la 74H Minute des quarts de finale et talonneur Mbonambi, a été touché à l’épaule d’un seul coup, trié par le staff sud-africain. Qui fait toute une histoire de protocole. Sans raison ? Cela permettrait aux Boks de terminer 15 sur 15, à 63H Minutes, il sera activé pendant 8 minutesH Et le dernier changement.

Ou encore, là encore le règlement est impide : il peut être possible de revenir sur un ancien acteur sur le terrain afin de lui imprégner un protocole. En représailles, si toutes les substitutions sont entrées en jeu, une sortie sur un « simple » ne sera pas remplacée par le joueur avant de faire partie de la rencontre.

De plus, la griffe Deon Fourie a été remplacée sur les couvertures de terrain et de courrier. Les erreurs peuvent perpétuer le conflit. En raison d’un tumulte inexistant, le staff sud-africain a décidé des règles pour permettre à Peter-Steve du Toit de remonter à la surface, et après avoir retardé la mise en œuvre de son protocole, ainsi qu’éviter de terminer le match avec la priorité numérique.

Des assurances impossibles de vérification de la chaleur des équipements d’arbitrage, de l’état dominant des acteurs en logique, ainsi que de la belle – et diabolique connaissance de la régulation – de la part de Rassie Erasmus du milieu juridique. Pour ce qui est du fair-play, en revanche, on repassera. Mais ça n’a jamais a été une idée en tête par le staff des Springboks ces dernières années…

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