Les manifestants sont descendus dans la rue La France Pour la cinquième journée consécutive, l’opposition du pays Pass santé – Pass Santé – Maintenant requis pour les activités quotidiennes.
Plus de 250 000 personnes devaient participer à environ 200 manifestations, une augmentation du nombre selon les responsables. tourné la semaine dernière. Les manifestants ont accusé le gouvernement de sous-estimer les chiffres et de sous-estimer l’importance du soutien.
Des manifestants s’opposent à la décision du gouvernement faire le Pass santé devoir Pour les restaurants, bars, cinémas, théâtres et la plupart des bâtiments publics à l’exception des magasins. Ils accusent le gouvernement de violer leurs libertés civiles et personnelles. Un certain nombre d’entre eux s’opposent également à la vaccination des enfants. La France vaccine la tranche d’âge des 12-17 ans depuis mai.
Pour obtenir une autorisation sanitaire, les personnes doivent être entièrement vaccinées, avoir récemment été testées négatives pour Covid-19 ou avoir eu un coronavirus dans le passé.
Les manifestations en France sont inhabituelles au mois d’août, lorsque de nombreuses familles partent, notamment vers le 15 du mois, jour férié important.
Décision du président Emmanuel Macron de rendre le transit obligatoire pour ceux qui souhaitent retrouver une vie plus normale Forcer la population à se faire vacciner. Les ministres espèrent que cela évitera également un retour à des restrictions plus strictes, notamment des fermetures et des couvre-feux.
Jusqu’à présent, on estime que 46 millions de Français – 66,8 % – ont eu au moins un vaccin et un peu moins de 39 millions ont été vaccinés. Le pays est en passe d’atteindre son objectif de vacciner 50 millions de personnes au moins une fois d’ici la fin du mois.
La France délivre actuellement 240 000 premiers AVC par jour, contre environ 36 000 premiers AVC par jour au Royaume-Uni.
Le blocage de la circulation semble être le plus fort dans le sud du pays, où les taux de vaccination sont également les plus faibles. Les manifestations ont uni l’extrême droite et l’extrême gauche, ainsi qu’un grand nombre de personnes parmi elles, notamment des théoriciens du complot, des défenseurs des anti-vaccins et des blazers. Et ceux qui sont politiquement opposés à Macron et au gouvernement centriste.
« Je soutiens le vaccin et je l’ai depuis des mois, mais pas le permis sanitaire, ce qui est discriminatoire », a déclaré un manifestant.
A Paris, il y a eu trois rassemblements distincts, dont un dirigé par Florian Filippo, ancien conseiller de la dirigeante d’extrême droite Marine Le Pen, qui a quitté son parti en 2017 et dirige désormais son parti appelé Les Patriotes. Tous étaient sous bonne garde. Des manifestations ont également eu lieu à Lyon, Toulon, Montpellier, Nice, Marseille et Perpignan.
Le gouvernement affirme que le nombre de manifestants est inférieur au nombre de personnes vaccinées chaque jour et une majorité silencieuse semble être en faveur du permis sanitaire.
Julian Bargeton, sénateur du parti au pouvoir La République en marche, a déclaré à BFMTV : « La solution, c’est le vaccin. C’est simple, le vaccin sauve des vies et le virus tue.
« Ce qui m’inquiète vraiment, c’est la situation sanitaire, la protestation des Français que c’est leur droit… En fait, la majorité des Français est favorable à la carte de santé. »