France a déclaré l’état d’urgence Mercredi, en Nouvelle-Calédonie, pour tenter d’apaiser les derniers troubles dans la région du Pacifique Sud, la sortie Quatre personnes sont mortes et des centaines ont été blessées. Les émeutes sont nées de l’opposition à une série de propositions de modifications du droit de vote dans la région. Le changement donnera droit à ceux qui y vivent depuis dix ans ou plus. Actuellement, le droit de vote est limité aux aborigènes Kanak nés avant 1988 et ayant résidé en Nouvelle-Calédonie tout au long de 1988 et 1998, ou nés après 1988 et dont un parent avait le droit de voter aux élections de 1998. .
La préoccupation exprimée par les Canucks, qui représentent moins de 40 pour cent de la population totale, est que les 60 pour cent restants de la population, pour la plupart des descendants de colons et d’immigrants européens, seraient marginalisés par une telle expansion. Les événements récents reflètent les tensions de longue date entre les peuples autochtones et la puissance coloniale. La Nouvelle-Calédonie est un Partenariat français outre-mer, bien que sa politique étrangère et sa défense soient entre les mains de la France, elle jouit d’une large autonomie intérieure. Le large degré d’autonomie dont jouit la Nouvelle-Calédonie est le produit de cette Traité de NouméaIl a été signé en 1998. Le traité définit de nombreux aspects importants de la gouvernance de la Nouvelle-Calédonie.
Les autorités ont interdit les rassemblements publics et imposé un couvre-feu dans la capitale néo-calédonienne de Nouméa en réponse aux troubles. Les responsables français ont appelé à une paix immédiate et à des pourparlers pour résoudre le problème, et espèrent que le changement de nature provoqué par la loi d’urgence ramènera la région à des conditions pacifiques.
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