New Delhi : les athlètes israéliens sont les bienvenus aux Jeux olympiques de Paris, a annoncé lundi le ministre français des Affaires étrangères Stéphane Segorn, répondant aux appels du député français Thomas Portis visant à les exclure.
Segorn a fait cette déclaration à Bruxelles avant ses entretiens avec son homologue israélien, qualifiant la proposition de Portis d' »irresponsable et dangereuse ». Il a également souligné que la France garantirait la sécurité de la délégation israélienne.
Portes, membre du parti La France rebelle, avait précédemment déclaré que les athlètes israéliens n’étaient « pas les bienvenus » et avait appelé à une « mobilisation » autour des Jeux olympiques lors d’une manifestation pro-palestinienne. Il a suggéré que la France fasse pression sur le Comité international olympique pour qu’il interdise le drapeau et l’hymne israélien, comparant cela à l’interdiction imposée à la Russie après son invasion de l’Ukraine.
L’Agence France-Presse a cité Sigorn disant : « La délégation israélienne est la bienvenue en France ».
Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a critiqué les propos de Portis, soulignant qu’ils contenaient « des indices d’antisémitisme ». Yonatan Arfi, chef de l’organisation juive Criv, a accusé Portis de « cibler les athlètes israéliens ».
Les commentaires de Portis ont suscité une large condamnation ce week-end, avec des critiques de la part de groupes juifs français, d’opposants politiques et de certains alliés, notamment des membres du Parti socialiste, plus modéré. Cependant, certains membres du Parti travailliste français ont soutenu la position de Portes.
Cette polémique continue de susciter un débat majeur dans les milieux politiques et sociaux français à l’approche des Jeux Olympiques de Paris.
Segorn a fait cette déclaration à Bruxelles avant ses entretiens avec son homologue israélien, qualifiant la proposition de Portis d' »irresponsable et dangereuse ». Il a également souligné que la France garantirait la sécurité de la délégation israélienne.
Portes, membre du parti La France rebelle, avait précédemment déclaré que les athlètes israéliens n’étaient « pas les bienvenus » et avait appelé à une « mobilisation » autour des Jeux olympiques lors d’une manifestation pro-palestinienne. Il a suggéré que la France fasse pression sur le Comité international olympique pour qu’il interdise le drapeau et l’hymne israélien, comparant cela à l’interdiction imposée à la Russie après son invasion de l’Ukraine.
L’Agence France-Presse a cité Sigorn disant : « La délégation israélienne est la bienvenue en France ».
Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a critiqué les propos de Portis, soulignant qu’ils contenaient « des indices d’antisémitisme ». Yonatan Arfi, chef de l’organisation juive Criv, a accusé Portis de « cibler les athlètes israéliens ».
Les commentaires de Portis ont suscité une large condamnation ce week-end, avec des critiques de la part de groupes juifs français, d’opposants politiques et de certains alliés, notamment des membres du Parti socialiste, plus modéré. Cependant, certains membres du Parti travailliste français ont soutenu la position de Portes.
Cette polémique continue de susciter un débat majeur dans les milieux politiques et sociaux français à l’approche des Jeux Olympiques de Paris.