La mère d’un adolescent abattu par la police française Résistance Dimanche contre l’acquittement du policier qui a tué son fils. Le policier a été libéré mais reste sous observation pendant que l’enquête se poursuit.
Nahel Mersouk avait 17 ans lorsqu’il a été tué par balle lors d’un contrôle routier le 27 juin 2023. Le policier qui a causé sa mort était « Florian M. », 38 ans. Identifié comme étant, il a été initialement incarcéré deux jours plus tard. Accusations d’homicide volontaire. La mort de Nahal, dont les parents étaient originaires d’Algérie et du Maroc, a déclenché des troubles généralisés dans toute la France. 3 000 personnes ont été arrêtées au cours des sept premiers jours de la série de manifestations.
Quatre mois et demi après la mort de Nahel, le 15 novembre, le responsable Publié Selon le ministère public, il ne répondait plus aux « critères légaux » selon lesquels il avait été détenu. Son contrôle judiciaire signifie que ses déplacements seront restreints le temps que l’enquête se poursuive. En réponse à sa libération, la mère de Nahal, Mounia, a organisé une manifestation pacifique sur la place Nelson Mandela à Nanterre, à Paris, où son fils est décédé. 500 manifestants ont assisté à l’événement, dont beaucoup portaient des chemises sur lesquelles était écrit « Justice pour Nehal ».
Un journaliste du Mouv (antenne de Radio France) présent à la manifestation a posté un article sur la manifestation sur X (anciennement Twitter). Ils ont cité Nahal mèreQui a dit: « Quand je me réveille le matin, je n’ai pas sa voix, je n’ai pas son sourire. Tout me manque chez mon bébé. Yannisl’ami d’enfance de Nahal, a déclaré à Mouv : « Il y a clairement deux poids, deux mesures. La police est surprotectrice.
Il n’est pas clair si l’affaire sera jugée ou non.