La première apparition du président algérien depuis son entrée à l’hôpital

Le président algérien Abdelmadjid Tebboune arrive pour l’ouverture de la 33e session ordinaire de l’Assemblée des chefs d’État et de gouvernement de l’Union africaine dans la capitale éthiopienne Addis-Abeba le 9 février 2020.

ALGERIE (Reuters) – Le président algérien Abdelmadjid Tebboune est apparu dimanche pour la première fois depuis qu’il a été transporté par avion vers un hôpital en Allemagne il y a 47 jours après avoir été testé positif au coronavirus, affirmant qu’il se rétablissait et rentrerait bientôt chez lui.

Tebboune, 75 ans, est apparu dans une vidéo publiée sur Twitter et diffusée à la télévision publique. Il a déclaré qu’il devrait se rétablir complètement dans les trois semaines au plus tard.

Il a dit: « Je me rétablis … Je retrouverai mes capacités physiques dans une semaine, deux ou trois semaines. » « Nous serons bientôt dans le pays pour continuer à construire une nouvelle Algérie. »

Tebboune a été élu en décembre de l’année dernière pour succéder à Abdelaziz Bouteflika, qui a démissionné après des manifestations de masse et a promis de mettre en œuvre des réformes politiques et économiques dans ce pays d’Afrique du Nord, membre de l’OPEP.

Au début du mois dernier, les Algériens ont approuvé des modifications de la constitution visant à accorder plus de pouvoirs au Parlement et au Premier ministre ainsi qu’à renforcer les libertés politiques, bien que le taux de participation électorale ait été extrêmement faible.

Tebboune a déclaré qu’il avait demandé à son personnel de la présidence de se coordonner avec les autorités électorales pour préparer une nouvelle loi électorale, ajoutant que cette loi ouvrirait la voie à la période post-constitutionnelle.

READ  Traitement de l'économie régionale par le district du collège communautaire du comté de Ventura

« Je regardais ce qui se passait en Algérie au quotidien », a-t-il déclaré.

Depuis son entrée en fonction, Tebboune a annoncé des plans pour réformer l’économie et la diversifier loin du pétrole et du gaz, dans un effort pour atténuer la pression financière causée par la baisse des revenus énergétiques – qui représentent 60% du budget de l’État et 94% des exportations totales. revenus.

(Couverture) Hamid Ould Ahmed Edité par Barbara Lewis et Francis Kerry

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *