Les pourparlers, connus sous le nom de COP26, font suite à la réunion du G20 à Rome et devraient inciter de nombreux dirigeants du groupe à ouvrir des négociations.
La reine a assisté aux pourparlers du G7 à Cornwall plus tôt cette année, où le climat a été discuté.
Le gouvernement britannique, qui organise les pourparlers, a insisté sur le fait que la COP26 se déroulerait malgré les défis des voyages internationaux apportés par la pandémie. La COP26 sera l’un des plus grands événements internationaux en personne depuis le début de la pandémie.
L’événement a lieu dans le contexte d’une série d’événements météorologiques extrêmes dans l’hémisphère nord, notamment des vagues de chaleur et des incendies de forêt dans certaines parties de l’Amérique du Nord, de l’Europe du Sud et de l’Afrique du Nord, ainsi que des inondations en Chine et en Europe occidentale.
Le président de la COP26, Alok Sharma, a établi un programme souple pour les pourparlers, visant à amener les dirigeants à s’engager à limiter la hausse de la température mondiale à 1,5 ° C au-dessus des niveaux préindustriels pour éviter l’aggravation des effets de la crise climatique.
L’accent sera également mis sur la fixation d’une date limite pour l’utilisation du charbon, l’augmentation des paiements des pays riches aux pays du Sud pour aider les pays à s’adapter à la crise climatique et la préparation d’un avenir net zéro, où le monde pourra le faire. Ils n’émettent pas plus de gaz à effet de serre qu’ils n’en retirent.