L’Algérie a du mal à nourrir sa population alors que la crise mord

Les trésors du gouvernement algérien se sont taris! Les files d’attente devant les magasins étant longues tous les jours, le président du pays fait désormais des discours publics pour rassurer la population sur l’approvisionnement en huile de cuisson, farine et lait.

Cette année, le Ramadan a été difficile pour les Algériens qui ont été frappés par le double impact de l’épidémie et des politiques inefficaces d’un régime qui refuse d’écouter les demandes du peuple pour la démocratie et la transparence.

À mesure que la valeur du dinar diminue, l’inflation augmente et la disponibilité des produits alimentaires de base tels que l’huile de cuisson se raréfie. Les médias algériens tels que la DSA montrent des images de longues files d’attente de personnes attendant un litre de lait sur la liste des produits les plus durs du pays.

Le gouvernement tente de sacrifier les spéculateurs pour couvrir des décennies d’échec à garantir l’autosuffisance alimentaire.

Les prix de la viande ont également augmenté malgré les mesures gouvernementales visant à réduire les droits de douane sur les importateurs espagnols de viande rouge.

Après plus d’une décennie de prix élevés du pétrole, l’Algérie n’a pas réussi à réduire sa dépendance à l’égard des importations alimentaires. Le pays importe 70% de ses besoins alimentaires.

Outre la dévaluation du dinar qui a frappé le pouvoir d’achat des logements, le chômage a augmenté car un demi-million de personnes ont perdu leur emploi depuis le début de l’épidémie.

Malgré la crise, l’Algérie continue de dépenser son peuple pour la défense en utilisant des théories du complot pour empêcher le rythme soi-disant pro-démocratique du soi-disant Hirak de se poursuivre.


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