L’Algérie abroge le règlement pénitentiaire d’un membre clé du Hirak – Surveillant du Moyen-Orient

Un tribunal algérien a annulé hier une peine d’un an avec sursis à l’encontre de Kareem Tabu, considéré comme l’une des figures les plus importantes du mouvement antipolitique en Algérie. Rechercher

Le Comité national de libération des détenus (CNLT) a annoncé sur Facebook : « Le tribunal de Tibasa (ouest d’Alger) a décidé de classer le dossier contre Kareem Tabu car le tribunal d’Alger a précédemment examiné l’affaire sous l’inculpation d’atteinte à la sécurité nationale. ‘. »

« Cette décision est la bienvenue », a déclaré Salehi, vice-président de la Ligue algérienne de défense des droits de l’homme. Agences France-Presse (AFP)

Le 7 décembre 2020, la justice algérienne l’a reconnu coupable de « compromission sur la sécurité nationale » et condamné le militant Kareem Taboo à un an de prison.

Cependant, les avocats de Tabu ont dénoncé la « violation de la loi » et fait valoir que leur client avait été condamné pour les mêmes chefs d’accusation lors du procès précédent et, par conséquent, ne pouvait être rejugé en vertu du droit algérien.

Tabbou, 47 ans, est le chef de l’Union sociale-démocrate d’opposition non reconnue et l’une des figures les plus importantes du mouvement anti-Hirak.

A lire : En Algérie, 14 000 prisonniers ont été graciés dans le cadre de l’amnistie générale du président Eid al-Adha

READ  Luis Enrique souligne les malheurs de la Ligue des Nations française alors que le débat sur la Coupe du monde se réchauffe

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *