Le ministère algérien de la Communication a annoncé avoir retiré son accréditation pour la chaîne de télévision Al-Arabiya.
Le ministère algérien des Communications a annoncé samedi avoir retiré son accréditation pour une chaîne d’information appartenant à l’Arabie saoudite. Al-Arabiya Selon les rapports, la désinformation Service de presse algérien (ABS)
La décision de retirer l’accréditation a été prise Al-Arabiya Chaîne d’information pour non-respect des règles de déontologie professionnelle et désinformation et manipulation des médias », indique un communiqué du ministère algérien de la Communication. abdos.
Al-Arabiya N’a pas publié de réponse à son interdiction au moment de la publication.
L’action du ministère fait suite à une décision similaire lors du magasin français en juin France24 Selon un porte-parole du ministère, il a perdu la reconnaissance d’une « hostilité claire et répétitive envers notre pays et ses institutions ».
Les responsables algériens affirment qu’ils ne restreignent pas la liberté des médias mais que les médias doivent adhérer à une éthique objective et professionnelle.
De nombreuses manifestations ont eu lieu en Algérie suite à la démission de l’ancien président Abdelaziz Bouteflika en 2019.
Le mouvement Hirak a mené bon nombre de ces luttes pour renverser l’ensemble du système politique et les réformes gouvernementales formelles établies lors de l’indépendance de l’Algérie en 1962.
En plus d’interdire les médias étrangers, les autorités algériennes ont ciblé leurs propres journalistes et puni des journalistes comme Khalid Trarani, qui a été emprisonné pendant deux ans en septembre pour « incitation à des foules non armées » et « mise en danger de l’unité nationale ».
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