Le président algérien Abdelmadjid Tebboune a présidé, lundi 12 février, une importante réunion destinée à évaluer l'Agence spatiale algérienne et à planifier son orientation future, comme l'a indiqué le président algérien dans un communiqué. Il est à noter que le chef d'état-major de l'armée, le général Sengriha, était également présent lors de cette séance.
L'institut disposera d' »équipements spatiaux de pointe », développant des technologies de pointe et mobilisant du personnel qualifié d'instituts spécialisés. Une attention particulière sera accordée aux diplômés en Mathématiques Supérieures et en Ecole Nationale Supérieure d'Intelligence Artificielle. Cette approche proactive vise à réaliser la Vision 2040 en collaboration avec les partenaires stratégiques de l'Algérie.
Cette annonce fait suite à la commande d'un nouveau satellite par le Maroc auprès d'Israël en décembre 2023 pour remplacer son Mohammed-VI A vieillissant. Notamment, la Russie et l’Inde ont déjà exploré une coopération avec le programme spatial algérien.
Les récents défis sécuritaires de l'Algérie au Sahel, en particulier au Mali, mettent en évidence les limites de ses capacités satellitaires actuelles. Les satellites ALSAT-1B, ALSAT-2B et ALSAT-1N existants doivent être lancés et mis à niveau en 2016.
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