Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a déclaré qu’une fois que l’Algérie rejoindra les BRICS, elle ne sera pas obligée d’obéir aux instructions si cela entre en conflit avec ses intérêts nationaux, notant que l’organisation n’est pas hégémonique.
Algérie Selon un communiqué publié mercredi par le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov, l’adhésion aux BRICS est l’une des principales possibilités.
L’Algérie l’a présenté Candidature officielle pour rejoindre les BRICS Plus tôt en novembre 2022. En décembre, le président algérien Abdelmadjid Tebboune a exprimé l’espoir que son pays puisse rejoindre l’alliance en 2023.
« Des demandes formelles d’adhésion ont déjà été reçues de plusieurs États… parmi ces pays se trouve l’Algérie », a ajouté M. Lavrov, ajoutant : « Lors de la récente réunion des cinq BRICS tenue sous la direction chinoise cette année, nous avons convenu de développer des approches communes pour de telles demandes. »
Selon le FM, la première étape dans l’établissement de ces démarches est que les BRICS « s’accordent sur les critères, paramètres et conditions d’inclusion de nouveaux membres dans notre association », « l’Algérie, de par tous ses mérites, est en tête. Concurrents. »
Le ministre a souligné qu’il fallait Formuler une stratégie d’élargissement non hégémonique des BRICS Refléter les intérêts légitimes des membres dans la promotion de la justice et de la démocratie sur la scène internationale. Contrairement à ce que les Etats-Unis ont construit sous la bannière de la « mondialisation », a-t-il insisté, tout en en abusant. Dollarisation mondiale et établir d’autres monopoles.
Concernant La pression de Washington sur les nations Lavrov a déclaré que l’Algérie « n’obéira pas aux instructions qui entrent directement en conflit avec ses intérêts nationaux » pour mettre en œuvre des sanctions contre la Russie. FM a rappelé que le secrétaire d’Etat américain Anthony Blinken avait auparavant demandé à un groupe de législateurs américains de « punir » l’Algérie pour avoir refusé d’accepter des sanctions contre la Russie.
« L’Algérie, comme la plupart des autres pays, est un pays qui se respecte, qui respecte son histoire et ses intérêts. C’est sur cette base que la République construit sa politique, ne s’appuyant pas sur des arrangements en coulisse avec ceux qui promettent des « carottes », ‘ mais en fait seulement essayer de violer les intérêts légitimes de ses ‘partenaires’. » , a expliqué Lavrov.
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