Le « gang du football » met l’Algérie à la merci de la FIFA !

Écrit par : Hanaa Saada

Algérie- L'emprise de quelques manipulateurs au sein de la Fédération algérienne de football a pris au piège l'organisation, la conduisant à s'écarter de la voie du progrès envisagée par les plus hautes autorités du pays, dirigées par le président Abdelmadjid Tebboune. Le besoin urgent de réformer le système sportif, en particulier le football, n’a jamais été aussi évident, tant son déclin ces dernières années est alarmant. Malgré les efforts persistants déployés par l'État algérien pour redynamiser le secteur sportif, en témoignent la construction d'installations internationales à l'époque du président Tebboune et l'accueil réussi de compétitions prestigieuses telles que la Coupe d'Afrique de la Jeunesse et la Coupe des Nations U-17, les Jeux Méditerranéens et le Championnat Arabe. Games, certaines factions frustrées restent déterminées à faire obstacle à ces développements. Leurs motivations, motivées uniquement par leur intérêt personnel, soumettent sans vergogne l’Algérie aux caprices de la FIFA.

Lajaa marocaine : une opportunité pour retrouver la stabilité

Alors que la Confédération africaine de football approche de ses troisièmes élections présidentielles le 4 septembre, la fédération se trouve à un moment critique dans le choix d'un successeur au président sortant Djahid Zvezif, dont le mandat a été témoin d'un malheureux déclin du football algérien. Des factions secrètes s'efforcent d'imposer leur agenda en excluant les candidats potentiels de la présidence, ce qui crée un blocage qui pourrait obliger la FIFA à intervenir et à nommer un superviseur externe pour des élections exceptionnelles, à l'instar de ce qui s'est produit lors des élections de la Ligue marocaine de 2014, qui ont conduit à la victoire de l'actuel président, Fawzi Lakjaa.

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Un plan de gang maléfique

Des informations fiables de Dzire Tube ont fait état d'informations inquiétantes concernant la formation d'un groupe secret de football qui travaille activement à faire obstacle aux élections présidentielles prévues de la Fédération algérienne de football. Cette conspiration maléfique vise à perturber le travail de la Fédération internationale des associations de football association (FIFA), mettant ainsi l'Algérie dans une position de faiblesse, à la merci de la FIFA et de Faouzi Lekjaa, président de la Ligue royale marocaine et membre du comité de la FIFA. Comité de résolution des conflits. Si ce plan malveillant réussit, il pourrait ouvrir la voie à une vengeance de Lakjaa contre l’Algérie.

Comité des nominations : ignorer les lois

Le comité des nominations, dirigé par Ali Malek, porte la responsabilité de l'avenir du football algérien. Ce comité est chargé de fournir un environnement approprié pour la tenue d'élections équitables. Cependant, ses actes suggèrent un mépris des lois de la République. En imposant des conditions arbitraires, comme exiger des candidats qu'ils aient une formation universitaire, alors qu'ils ne font pas partie des lois de la FAF, le comité et son président bafouent l'intégrité de la fédération.

L'expiration du délai fixé par le ministère de la Jeunesse et des Sports sans que la Fédération n'ait convoqué une assemblée extraordinaire pour adapter ses lois, rendant impossible la mise en œuvre de l'exigence d'un diplôme universitaire stipulée par l'ancien ministre de la Jeunesse et des Sports Abdel Razzaq Sabqaq. Un point de départ crucial vers le respect des lois fédérales de toutes les fédérations sportives, y compris la FAF.

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Remettre en question les motivations

La décision de la Commission des nominations de poser des conditions impossibles aux candidats à la présidence de la FAF suscite de vives inquiétudes dans ce contexte précis. Étant donné que le prochain président exercera son mandat olympique actuel (2021-2025), les lois électorales actuelles devraient rester en vigueur. Cependant, les récentes élections ont vu le Comité des nominations ignorer l'exigence d'un diplôme universitaire et ignorer plusieurs réglementations cruciales, simplement pour servir ses propres intérêts. Mais, surprenant, le comité exige désormais un baccalauréat ou un diplôme supérieur, même s'il sait que cette condition est impossible pour tous les candidats et membres de la fonction fédérale. Cet entêtement place la FAF au bord d'une situation dangereuse et instable qui pourrait inciter la FIFA à intervenir. En effet, certains partis amis peuvent vouloir créer des obstacles au sein de la plus haute instance du football algérien, simplement pour réaliser leurs objectifs personnels au détriment de l'intérêt public supérieur du pays. De telles actions menacent de porter atteinte à l’intégrité et au progrès du football algérien, et il est nécessaire de réévaluer soigneusement ces conditions entravantes pour garantir un processus électoral juste et transparent.

L’avenir du football algérien se trouve à un tournant critique alors que le « gang du football » cherche à manipuler les élections présidentielles et à saper les efforts du pays pour relancer ce sport. Alors que la commission des nominations continuait d'imposer des conditions impossibles, il est devenu évident que les intérêts du groupe priment sur ceux du football algérien.

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