C'était trop beau pour être vrai. Le gouvernement de Kiribati a déclaré mercredi qu'il n'était pas responsable d'une légère répression sur les réseaux sociaux qui est devenue virale, provoquant des rires dans le monde entier.
Plus tôt cette semaine, @KiribatiGov a gagné en notoriété en répondant à un message cinglant sur X – anciennement Twitter – dans lequel un utilisateur harcelait la nation insulaire du Pacifique pour avoir des noms de lieux comme Pologne, Paris, Londres et bananes.
« Je pense que Kiribati a tout simplement abandonné quand est venu le temps de nommer les villes », a posté l'utilisateur @VoxDocVoxDei à côté d'une carte de l'île de Kiritimati.
La réponse de @KiribatiGov a été rapide : « D'accord. Vous n'êtes pas invité. »
La publication a été vue 27 millions de fois et appréciée par près d'un demi-million d'utilisateurs.
Mais bien qu’il prétende provenir du « récit officiel de la République de Kiribati », ce récit n’est malheureusement pas légitime.
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« C'est un faux compte », a déclaré à l'AFP Tirenibia Eno-Tebo, haut responsable des communications présidentielles.
Il a déclaré que X avait été contacté pour résoudre le problème du compte non autorisé, mais « (nous) ne savons toujours pas qui le gère ».
Si l'auteur se trouve sur l'île, il peut être difficile de le retrouver parmi la population d'environ 130 000 habitants.
Remarque : il se prononce « Kir-ih-bas » et non « Kir-ih-bati ».
Source : Agence France-Presse
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