Le Polisario a boycotté l’investiture du président sud-africain Cyril Ramaphosa, mercredi 19 juin. Ses médias officiels ont ignoré l’événement et Brahim Khali n’a pas adressé de message de félicitations à Ramaphosa.
Cette présence était évidente vendredi 14 juin, lorsque les délégués ont réélu Ramaphosa, leader du Congrès national africain (ANC), pour un second mandat à la présidence de l’Afrique du Sud. Tandis que plusieurs alliés, dont les présidents de la Russie, de la Chine, du Zimbabwe, de l’Angola, du Kenya, de l’Inde et d’autres, envoyaient des messages de félicitations, le Polisario restait silencieux.
Le fait que Brahim Khali ne figurait pas parmi les vingt chefs d’État et de gouvernement invités à l’investiture est un signe significatif de relations tendues. En revanche, Cyril Ramaphosa a eu au moins trois fois le chef du Polisario : juin 2018, octobre 2022Et août 2023 Lors de la conférence des BRICS à Johannesburg.
L’Algérie a également fait preuve de modération après la réélection et l’investiture de Ramaphosa. Cela ressort clairement de la couverture médiatique modérée des deux événements. Une chaîne d’information continue Actualités AL24 Et Radio Algérie Une agence internationale a republié une dépêche selon laquelle l’ANC de Ramaphosa formerait un « gouvernement d’unité nationale » avec ses nouveaux alliés.
L’ANC est en pourparlers pour former un gouvernement avec le deuxième parti à la Chambre des représentants, l’Alliance démocratique (DA), qualifiée de pro-occidentale, d’Inkatha Independence Party (IFP), de bon mouvement et de patriote. Alliance (AP).
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