PARIS
Le virus Corona 2 ou virus SARS-CoV-2, une maladie respiratoire aiguë causée par le COVID-19, se propage en France depuis novembre 2019, selon une nouvelle étude des Instituts nationaux de la santé et de la recherche médicale (INSERM). ).
Le premier cas d’infection au COVID-19, ou patient zéro, a été identifié le 24 janvier de l’année dernière dans la ville sud-ouest de Bordeaux. Cependant, le 27 décembre 2019, un cas de pneumonie suspectée dans un hôpital près de Paris a ensuite été diagnostiqué comme ayant une infection au virus corona.
Mais une étude récente de l’INSERM, basée sur une analyse sérologique d’échantillons de volontaires, a confirmé que le virus SRAS CoV-2 s’est largement propagé depuis novembre 2019.
Les nouvelles données, publiées dans l’European Journal of Epidemiology par un institut de recherche français, suggèrent que le virus se propage en Europe presque deux mois plus tôt qu’on ne le pensait.
Le nouveau virus COVID-19 a été étudié conjointement par l’INSERM, l’Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yelines, l’Université de la Sorbonne et l’Institut de développement de la recherche de Marseille.
L’étude était basée sur une analyse rétrospective d’échantillons de sérum de 9 144 adultes vivant dans 12 régions différentes de France.
Selon les résultats, 353 volontaires ont été testés positifs pour les anticorps anti-SARS-CoV-2. Parmi ceux-ci, des échantillons de 13 volontaires ont été prélevés de novembre 2019 à janvier 2020. Les échantillons ont été soumis à des tests de micro-neutralisation internes pour détecter les anticorps neutralisants et les détails cliniques, y compris les antécédents d’exposition potentielle, ont également été étudiés.
«Des études menées auprès de 11 de ces participants ont révélé la présence de symptômes associés à une infection virale à l’origine du COVID-19 ou à des conditions dangereuses pour le SRAS-CoV-2 à partir de novembre 2019», indique un rapport. .
Les infections au COVID-19 en France sont les plus élevées d’Europe, avec plus de 3,4 millions de cas positifs et plus de 80 000 décès. Mercredi, les responsables de la santé avaient enregistré 25 387 nouveaux cas et 296 décès.
Pour éviter la propagation de la pollution des jeunes enfants aux adultes, le ministère de la Santé a annoncé mercredi des « tests salivaires » pour les écoliers à la fin des vacances d’hiver. Des tests moins embarrassants que le tissu nazi permettront aux étudiants et aux enseignants d’être massivement examinés dans les écoles et les universités.
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