Des dirigeants de Quantic Dream ont récemment comparu devant un tribunal parisien dans le cadre de ses tribunaux Un procès en diffamation en cours Contre les publications françaises le monde Et le Mediapart. Mais selon un rapport du 31 mai, les choses ne se sont pas bien passées pour le studio derrière des jeux comme Forte pluie Et le Détroit : Soyez humain.
Fédération française الاتحاد Solidarité informatique Rapports Que les co-PDG David Cage et Guillaume de Fondaumière ont tous deux manifesté un comportement étrange lors de leur témoignage.
Cage aurait pleuré sur scène, piétiné ses pieds et crié pour avoir interféré avec son travail et porté atteinte à son honneur, pour finalement sortir complètement de la salle d’audience.
Vers la fin de son témoignage, de Vondaumeier aurait regardé les juges et aurait demandé : « Mais je ne suis pas un juré, puis-je mentir ? Avant de prétendre que Quantic Dream a été gravement endommagé par des histoires sur son environnement de travail toxique. Solidarité informatique de Fondaumière dit qu’il n’a pas fourni la preuve de ces dommages.
Quantic Dream n’a pas répondu à KotakuDemande de commentaire.
Ces aventures judiciaires remontent à janvier 2018, lorsque Plusieurs rapports Publié dans la presse française sur les conditions de travail chez Quantic Dreams. Des histoires affirmaient que la culture de travail de Quantic Dream était criblée de comportements toxiques, le plus répandu étant une énorme collection d’images photoshopées représentant des employés dans des situations sexuelles et modifiées pour ressembler à des nazis. Ces images dateraient de 2013 et ont parfois été montrées dans des espaces ouverts des bureaux de Quantic Dream.
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gérants de studios réfuter ces détailsAvec de Vondomière Kotaku À l’époque, il était « furieux et en colère » face aux accusations. Kotaku J’ai appris en avril 2018 que Quantic Dream était Procès Journal le monde Et le site Mediapart, deux publications françaises chargées de préparer les rapports. En décembre 2019, un tribunal français Commander Quantique Dream verse à l’ancien directeur informatique un total de 7 000 euros (environ 8 500 dollars américains) pour l’incident, mais cette décision a été renversé plus tôt cette année après qu’aucun lien n’ait été trouvé entre la publication des photos et la décision du plaignant de quitter l’entreprise.
En plus des mesures prises par ses dirigeants lors de leurs comparutions devant le tribunal la semaine dernière, Quantic Dream aurait fourni au tribunal des documents censés les défendre contre des accusations de fraude à la sécurité sociale en montrant que l’entreprise avait agi de bonne foi en licenciant un ancien employé. Cependant, après un examen plus approfondi, ces documents ont apparemment révélé des irrégularités dans le processus qui, selon la défense, ont mis en évidence un éventuel incident de licenciement illégal. Si vrai, ce sera un fichier propre but de proportions gigantesques.
Jugement dans le procès contre Quantic Dream le monde Et le Mediapart Il est attendu le 8 juillet, selon Solidarité informatique.
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