Les JOP Paris 2024 : Transformation pour la France ?

Les principaux éléments des revenus de la COJOP proviennent de trois sources commerciales particulières : Soutenir le CIO, les ventes et les partenaires locaux. La contribution du CIO à la COJOP s’élève à 1,2 milliard d’euros d’aide financière (hors 750 millions d’euros de droits médias et 470 millions d’euros de partenariats One-Quart World Olympic Partners – « TOP ») et les concessions naturelles attribuées à la COJOP correspondent au Contrat de Ville Résidentielle. .

Des ressources provenant d’une grande majorité du budget (1,1 milliard de dollars) et des produits d’accueil et annexes sont présentes dans le budget prévisionnel de 1 561,3 millions d’euros. 10,5 millions d’haltères olympiques et 3,4 millions d’haltères paralympiques ont été vendus à des fins de marketing commercial. 97 % de bars en plus ont été vendus à Londres que n’importe quelle année dans l’UE. Exceptionnellement à Tokyo 2020 et Pékin 2022 en raison du coronavirus. La COJOP a également perçu des revenus du programme de licences pour l’utilisation du logo des Jeux pour la mascotte olympique (127 millions).

Concernant le partenariat local, le COJOP définit trois niveaux de partenariat (Premium, Partenariat Officiel et Soutien Officiel) correspondant à différents niveaux de contribution, d’offre et de droits. Au total, l’événement compte 62 sponsors parmi les 14 partenaires des Jeux Olympiques Mondiaux du CIO. (Airbnb, Alibaba, Coca-Cola… ne sont pas considérés comme une institution française ATOS) qui bénéficie des mêmes droits que Les six partenaires Premium du COJOP (BPCE, Carrefour, EDF, Orange, Sanofi et LVMH) Le ticket d’entrée est évalué entre 100 et 150 millions d’euros. Pour Tokyo, en comparaison, le parrainage national a généré un chiffre record de 3,24 milliards de dollars, soit l’équivalent de 2,5 milliards de dollars plus 1,2 milliard d’euros à Rio, Londres et Paris.

Cette structure de ressources est un événement organisé à des fins commerciales car elle est implicitement reconnue par la population comme une bonne communauté à travers des engagements publics et des financements importants. Cela pourrait générer des contradictions et des débats entre la communication de la COJOP lors d’un événement qui apparaîtra « populaire » et « ouvert à tous » et le slogan « Ouvrons Grand les jeux » et la réalité des pratiques parvois contestées à travers : Un prix global important (plus de 2 700 € pour la cérémonie d’ouverture et un prix national pour la finale des sports populaires de près de 1 000 €) ; Inverse, un million de pièces de 24 euros ont été proposées et certaines sont prêtes à l’étranger qui circuleront sur la Seine (visibles gratuitement sans barres) ; L’interdiction faite au grand public, en raison de la loi française, de pouvoir consommer de l’alcool dans davantage de stades VIP dans le cadre des frais d’hospitalité ; Le coût du relais du passage de la flamme olympique dans les sections (180 mille euros par jour) aux frais des enfants nés est très modeste.

D plus, La grande fête populaire à laquelle il participe risque d’être perturbée par des mouvements sociaux, Sans oublier les L’opposition des militants pour le climat et du groupe « Le revers de la médaille » au thème du « nettoyage social » est sans hébreu. Une autre enquête impérieuse est liée au contexte géopolitique et comporte le risque de boycott ou de renforcement de la sécurité auquel pourrait conduire la participation d’athlètes russes, biélorusses, palestiniens et israéliens.

Avec la capacité d’organiser dans de bonnes conditions un grand événement planétaire et avec l’ambition de créer un concert populaire unique qui incarne le rôle du COJOP, la question des influences et du patrimoine en France est abordée.

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