Dans le cadre du nouvel arrêté, qui vise à réduire les déchets dans les magasins, des garanties de deux ans pour 12 types de marchandises doivent être incluses dans les reçus.
Les garanties de deux ans, sont appelées Garanties de conformité, est en place depuis 2016, mais certains acheteurs ne les respectent pas et soupçonnent qu’il est difficile de retourner les articles cassés aux acheteurs, ou à ceux qui ne font pas ce qu’ils vendent.
Certains ont annoncé la garantie exclusivement pour le magasin, et non comme une obligation légale – l’entreprise d’électroménager Dorty a été condamnée à une amende de 25 000 € en 2018 pour l’avoir fait.
En juin est venu une nouvelle commande dans laquelle des reçus étaient requis pour écrire une garantie de deux ans.
Lorsqu’un client retourne un article défectueux dans un délai donné, le commerçant, et non le fabricant, doit remplacer, réparer ou rembourser l’article.
En conséquence, on pense que moins de matériaux seront jetés lorsqu’ils se décomposent.
Liste des articles sous garantie : Ordinateurs et matériel informatique, appareils photo, réfrigérateurs et machines à laver, téléviseurs et sonorisation Destiné au grand public, téléphones, matériel de bricolage et de jardinage courant, mobilier, commandes de jeux vidéo, matériel d’éclairage et d’éclairage, jeux et jouets de sport y compris l’équipement, les lunettes de soleil et les montres.
Les acheteurs doivent conserver leurs reçus et les montrer au magasin lors de la réclamation.
Les magasins en ligne sont également soumis à une garantie de deux ans mais ils n’ont pas à le mentionner sur le reçu.
Les reçus électroniques – désormais principalement envoyés aux clients par courrier électronique – doivent indiquer la garantie s’ils proviennent d’un magasin physique.
Groupe de consommateurs 60 millions de consommateurs Donne un exemple qui montre que ceux qui se heurtent à l’épaule et soupirent en essayant de respecter la garantie ne sont pas seulement des anglophones.
Il cite le cas d’un membre du nom de Bruno, qui, un an après avoir acheté un lit, s’est retrouvé avec une jambe cassée mal ajustée dans l’usine.
Il a demandé à changer de magasin mais ils ont refusé et le lit a dû être maltraité d’une manière ou d’une autre pour se casser la jambe.
Bruno a poursuivi le magasin en justice et a été condamné à rembourser l’argent qu’il avait payé, ainsi que 50 pour ses dépenses.
Le tribunal a déclaré que si le magasin pense que le lit a été maltraité, cela doit être prouvé.