Les partis de gauche en France discutent d’une éventuelle alliance parlementaire

Les partis de gauche français sont en pourparlers pour former une coalition avant les élections législatives de juin.

Le seul candidat de gauche, Jean-Luc Mélenchon, a failli se qualifier pour un second mandat. Son parti a fait pire que prévu d’après les sondages d’opinion, qui l’ont vu gagner environ les deux tiers du soutien.

Dans une interview accordée à un hebdomadaire, Mølenchon a déclaré que les gauchistes doivent abandonner la « culture de l’échec permanent » et que certains partis sont embourbés dans des problèmes internes. Mais il s’est dit confiant de trouver un éventuel accord entre les parties.

M’lenchon a recueilli près de 22% des voix au premier tour, un point plus gênant que le candidat d’extrême droite Marin Le Pen, qui a affronté l’actuel Macron au second tour la semaine dernière.

Tous les autres candidats de gauche, y compris les Verts, les Socialistes et le Parti communiste, ont obtenu 5 % des voix.

Le secrétaire du parti des Verts, Julian Bio, a déclaré qu’il espérait qu’il y aurait un accord avec le diffuseur France 2.

« Nous devons vraiment tirer les leçons de ce qui s’est passé le 24 avril : Emmanuel Macron a été réélu, mais nous ne pouvons pas nous reprocher cinq ans d’inaction climatique et cinq ans de dégâts sociaux », a-t-il déclaré.

Mais le Parti socialiste a suspendu les pourparlers vendredi, affirmant qu’il doit y avoir une « logique commune » pour que les parties soient traitées de manière égale.

Des tentatives précédentes ont été faites pour fédérer la gauche autour d’un candidat unique, dont une tentative populaire d’organiser une primaire parmi les principaux candidats de gauche pour empêcher le face-à-face Macron / Le Pen de 2017.

Au lieu de cela, au premier tour, il y avait six candidats de partis de gauche, des socialistes de centre-gauche au parti de lutte des travailleurs d’extrême gauche.

Après le premier tour de l’élection, M மெlenchon a commencé sa campagne à la législature.

Il a appelé les électeurs à « lui choisir » un rôle désigné par le président français. Il repose généralement sur une majorité à l’Assemblée nationale, la chambre basse du parlement.

La dernière fois qu’un Premier ministre appartenait à un parti autre que le président, c’était en 1997, après quoi les règles du président ont été modifiées pour empêcher un tel événement.

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