Pour ne pas offenser l’Algérie, la police est restée silencieuse face à l’implication de l’Opep dans le projet de gazoduc maroco-nigérian.

Le Polisario a choisi d’ignorer la contribution du Fonds de l’OPEP pour le développement international pour financer une partie de la deuxième phase d’une étude préliminaire approfondie du gazoduc entre le Nigeria et le Maroc. La contribution financière de l’Algérie audit fonds précité est une cause directe de ce silence car elle est membre fondateur du Fonds OPEP, dont la création a été annoncée lors de la Conférence des chefs d’État de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole, organisatrice. mars 1976 à Alger.

En revanche, le mouvement séparatiste a été très décisif Institut australien d’ingénierie WorliParsonsElle a remporté le contrat de réalisation des premières études techniques d’un projet de gazoduc reliant l’Etat au Nigeria par voie maritime.

La Sahara Petroleum and Mining Authority a appelé la société australienne et les autres sociétés étrangères impliquées dans le projet gazier maroco-nigérien à « abandonner leurs opérations et leurs investissements au Sahara Occidental ».

Le Polisario a également « informé l’UE des dangers de telles actions se déroulant sur les territoires des États membres de l’UE, et exige donc qu’il accepte ses responsabilités dans la sauvegarde de la souveraineté et de la richesse de ses États membres ». La Constitution de l’UE et les dispositions de sa Loi fondamentale se réfèrent à la même autorité dans une déclaration. »

Si le Polisario oublie de mentionner sa contribution financière au Fonds de l’OPEP pour le développement international, il a lancé des actions en direction de la Banque islamique de développement (ISBD), qui contribue à hauteur de 50 % (90,1 millions de dollars) du montant nécessaire pour le boucler. La deuxième phase de la conception technique initiale du gazoduc est Maroc Nigeria.

READ  Éliminatoires de la Coupe du monde 2026 : l'Égypte et le Ghana gagnent mais l'Algérie étourdit

Pour rappel, au lendemain de l’annonce de la signature, en novembre 2020, Policario avait déjà choisi de garder le silence. Un nouvel accord de pêche maroco-russeY compris les eaux du Sahara occidental.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *