La France plus que jamais terre d’olympisme ! Après les JO 2024, elle déménagera à Paris, où la France doit accueillir les Jump Games 2030 dans les Alpes. La nomination de la France comme l’un des pionniers les plus importants, en entamant à elle seule un « dialogue commun » avec le CIO qui a formellement conçu un hôtel à proximité, a été annoncée par le CIO. C’est de France qu’il vientconduisant à une perturbation de la « haute pression » de la concurrence.
Comme il existe une différence entre la Suisse et le Soudan, la grande majorité des infrastructures est déjà en place, 95% des combinaisons sont présentes : cols de bobsleigh à La Plagne, snowboard à Courchevel, ski alpin sur les cols tests à Méribel, Courchevel et Val d’Isère, snowboard à la Clusaz, ou participation à un biathlon au Grand-Bornand, date d’adhésion à La Haute-Savoie. Au sud, Nice gagne la capitale des sports d’hiver avec des épreuves sur glace dans une nouvelle arène olympique.
Séoul Inkono, couloirs de batinage de vitesse, Car no France n’en possède plus. Deux options sont disponibles sur dossier : un appareil temporaire dans un centre de conférence ou l’utilisation d’un itinéraire existant à l’étranger. Budget prévisionnel de ces jeux : 1,5 milliard d’euros. D’autres partenaires de Paris 2024 sont prêts à poursuivre l’aventure olympique. « Les Jeux fonctionneront Financer les Jeux » : La petite musique continue, mais elle est toujours présente au CIO.
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