Zulfikar Fath-ur-Rahman (Jakarta Post)
excellent
Jakarta
dimanche 19 septembre 2021
Un compte courant plus solide devrait, en principe, aider l’Indonésie à mieux gérer les effets de la Réserve fédérale américaine (Fed) qu’elle ne l’a fait en 2013, après la récente crise financière. Mais cette fois, la pandémie de COVID-19 fait émerger de nouvelles vulnérabilités.
Après avoir parlé en mai 2013 de la fin des achats d’obligations par la Réserve fédérale, l’Indonésie et d’autres marchés émergents, en particulier le Brésil, l’Inde, l’Afrique du Sud et la Turquie, ont connu des sorties de capitaux qui ont dévalué les devises et fait chuter les marchés boursiers et obligataires, une série d’événements appelés Crise de colère.
De nombreux marchés émergents avaient à l’époque d’importants déficits courants. Les données de la Banque d’Indonésie (BI) ont montré que l’Indonésie a atteint 9,58 milliards de dollars, soit 4,26 % du PIB du pays au deuxième trimestre de 2013.
Cependant, la pandémie…
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