Patos lors de la dernière finale européenne des moins de 17 ans, mais (0-0, 4 tab à 5) face à l’Allemagne, les joueurs français ne s’avanceront pas pour prendre une revanche avide. Ces proverbes Allemands sont les mêmes que lors de la finale de la Coupe du Monde U-17. Dans les 22 ans qui ont suivi Gil Sinama Ponggol, le « mini bleu » n’a pas encore réalisé le couronnement mondial de la sortie d’une partie de la partie longtemps réalisée, une fois de plus (2- 2, 3 tab. 4). Les joueurs marseillais, Jean-Luc Fanouche, et ils ont continué à jouer de la même façon, et ils ont été très mal piégés. Après un 2 à 0 après toutes les signatures de Brunner (29 points) et Darvec (51), les Bleuets ont su trouver les ressources nécessaires pour parvenir au résultat. D’abord en particulier l’écart grâce à Bouabré (53), puis en fin de partie avec le but de l’égalisation Signé Amougou (85). L’Equipe de France, lors de cet entraînement, a contribué à l’expulsion d’Osaoui (69).
Fin juin, les équipements binaires devraient être lancés à distance. Dans ce jeu que j’enviais, l’équipe de France a hésité. Malgré les arrêts d’Argney, le portier français, les allemands l’ont importé, bien aidés par la maladresse française dans cet exercice. Sanghi, Myopio Minadjo et Gomis sont ceux qui font ces exercices difficiles tout le temps. L’histoire a recommencé au stade Manahan de Surakarta (Indonésie).