Devant Championnat du Monde Route UCI 2021 Courses sur route d’élite, l’actualité du cyclisme est profondément immergée dans les principaux groupes.
Histoire
La France se classe troisième en l’honneur des courses sur route masculines d’élite, mais les neuf titres mondiaux de la nation – Georges Speicher (1933), Antonine Magne (1936), Louison Bobbet (1954), André Dorigate (1959), Jean Stoplinsky (1962), Bernard Hinolt 1980), Luke LeBlanc (1994), Laurent Brochard (1997) et Julian Alleppey (2020) – L’Italie est 19 derrière et 26 derrière la Belgique.
Un regard sur le monde du cyclisme français historiquement centré sur le Tour de France n’aidera probablement pas, surtout lorsque les Mondiaux se déroulent dans son ancien créneau de fin d’été. Puis Grande bague, Les stars du Bolton français arrivaient généralement dans le monde après le mois d’août, passant peu de temps à l’échelle post-tournée, avec peu de restes dans le réservoir. Ce n’est pas tout à fait une coïncidence si le défi important d’Hinalt à la fin de l’été s’est terminé prématurément en raison d’une blessure.
Pourtant, le bilan de la France s’est détérioré alors que le monde passait à l’automne après les réformes du calendrier de 1995. La victoire d’Alleppey, d’ailleurs, est intervenue une semaine après la fin de la tournée 2020 de l’épidémie, avec un autre « nouveau venu » de la course, Guilloo Martin, jouant un rôle clé dans l’accélération de sa séquence de victoires.
Séquence
- Julian Alabilip (Désunning-Quickstep)
- Rami Kawagna (Tuning-Quickstep)
- Benoit Cosnefroy (AG2R-Citroën)
- Arnaud Tamare (Grubama-FDJ)
- Christoph Laporte (Cofidis)
- Valentin Maduas (Grubama-FTJ)
- Clément Russo (Archaea-Samsic)
- Florian Sanachal (Disunning-Quickstep)
- Anthony Turkis (Équipe Énergie Totale)
Grands cavaliers
Comme Imola et Yorkshire, il s’agit (presque) d’Alabilip. Le plan A du leader incontesté de l’actuelle équipe de France championne du monde et entraîneur national Thomas Vogler consiste à livrer Alabilip en toute sécurité aux deux dernières manches de la manche d’Aleuvan.
Alabilip a montré l’éclat du maillot arc-en-ciel, revendiquant la position de départ du Tour de France et profitant du jaune lors de la troisième saison héritière. Il courut avec ambition tout au long du printemps et remporta la Chair wallonne, même si une grande campagne classique n’était du moins pas une grande, mais il se vit refuser le doublé ardennais dans la Lyde-Bostogne-Liège, où Thaddeus Boganer créa un chagrin rapide.
Quelques semaines plus tard, lorsqu’il a décidé de ne pas participer aux Jeux olympiques de Tokyo, Albilip s’est fait une surprise. À partir de 2020, il a brillé lors du week-end d’ouverture de la tournée, mais a eu moins d’impact pendant la course. Après la pause qui a suivi la Classica San Sebastian, il a terminé deuxième de la Bretton Classic et du Tour of Britain, où il a terminé troisième au classement général. Il a signé une année de performances agressives au Primus Classic à Rainbow Jersey, où il a contribué au succès de Florian Sanachal de l’équipe Tsunink-Quickstep.
Cependant, contrairement aux Mondiaux de l’année dernière, le maillot arc-en-ciel sera toujours décidé dans le dernier tour du parcours difficile d’Imola. . Cette course mondiale sur route peut être disputée dans un mode classique flamand, où la représentation sur le panneau avant est toujours d’une importance primordiale.
Vogler a peut-être pensé à donner une certaine liberté à des hommes comme Sanachal, Valentine Madovas et Cosnefroy, qui ont exploité une riche forme ces dernières semaines. L’homme AG2R-Citroën a battu Alaphilippe dans la Bretagne Classic et a remporté la meilleure médaille de bronze aux Championnats d’Europe. Alabilip est peut-être sur certains coureurs qui peuvent de manière réaliste se mesurer à Van Out Air, mais cela n’empêche pas la France de rechercher des opportunités plutôt qu’un favori à la maison. Arnaud Tamare et, en particulier, On-Farm Christoph Laborde donnant des options lors d’une épreuve de sprint.
Forces
A Alabilip, la France est fière d’être l’un des meilleurs concurrents pour le maillot arc-en-ciel, et ses vastes talents, tels que Van Airt et Matthew van der Boyle (Pays-Bas), lui permettent de remporter cette course parmi une variété de conditions. . Comme Peter Sagan en 2016 et 2017, à la même époque, Alabilip pouvait bénéficier de la garantie de devenir champion du monde. Il peut remettre son titre en ordre, mais à certains égards, il perd moins que les coureurs qui n’obtiennent toujours pas le gros lot dans une course d’une journée. Peu importe ce qui se passe dimanche, les bandes arc-en-ciel seront entre ses mains pour le reste de sa vie.
La position d’Alabilip est qu’il ne peut y avoir de tension dans la ligne de leadership lorsqu’il s’agit de construire la course, et l’équipe de Vogler a également montré une unité significative l’année dernière avec le soutien de l’homme de Tsunink-Quickstep. À ce stade, le statut de l’alpaga peut créer des opportunités pour les membres de l’équipe entrepreneuriale de tester l’eau plus loin de l’extérieur. A l’image du palmarès d’Anthony Turkis dans ce coin du monde, la forme de Cosnefroy est un plus pour Vogue.
Faiblesses
Tout peut arriver au sprint après 260 km, comme en témoignent les deux dernières éditions de l’Alliphillip Liz-Bastogne-Liège, mais la tournée britannique a souligné à quel point il était difficile de battre Van Eart dans la mauvaise finale en plat à Zeldenoxwest.
L’équipe de France comprend deux finishers rapides, Christoph LaBorde et Arnaud Tamare, mais il reste à voir s’il y a de la place pour que l’homme échappe aux 42 montées qui seront stoppées en piste dimanche. Temare a eu du mal à refléter sa forme 2020 dans cette campagne et a récemment remporté le Loporte GP de Valenie et a terminé deuxième au Dwars door Vlaanderen en mars. Sony Colbrelly (Italie) dans un sprint par équipes dimanche.
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