Un critique juif d’extrême droite ne jure que par la communauté juive française alors qu’il se soulève

La référence était à la position émotionnelle de M. Levy depuis des décennies sur les peuples opprimés de pays tels que l’Afghanistan, la Bosnie et le Nigeria, comme en témoignent son récent livre et film puissant, tous deux intitulés The Will to See. M. Zemmour a cité la phrase de Rousseau : « Méfiez-vous de ces cosmopolites qui cherchent dans leurs livres des devoirs qu’ils méprisent chez eux. Ces philosophes aiment les Tatars pour qu’ils n’aient pas à aimer leurs voisins.

L’amour de M. Zemmour pour ses voisins est éclectique. Sur les six millions de musulmans estimés en France, soit environ 10 % de la population, il a déclaré qu’ils devraient « choisir entre l’islam et la France », notant que leur expulsion pourrait ne pas être impossible, et affirmant qu’ils considéraient tous les terroristes djihadistes comme de « bons musulmans ». il interdirait tous les « noms non français », comme Mohamed.

En 2019, des remarques ont conduit à Une condamnation et une amende par le tribunal de Paris A propos « d’insultes et de provocation à la haine », M. Zemmour a déclaré que « l’islamisation de la rue, comme l’uniforme de l’armée d’occupation, rappelle aux vaincus leur soumission ». Il a ajouté que dans les années 1930, l’observateur le plus en vue comparait le nazisme à l’islam. Il n’a pas précisé l’identité de ces observateurs.

« Il répand la haine et cela semble un peu normal et c’est horrible », a déclaré Hakim Karoui, un consultant en affaires islamiques. « Ce qu’il dit sur les musulmans ne sera jamais accepté s’il dit sur un autre groupe. »

M. Zemmour n’a jamais nié l’Holocauste, qui est illégal en France. Mais ses propos sur Vichy font partie de l’habitude de manipuler l’histoire.

Après des décennies de tergiversations, Jacques Chirac, alors président, Reconnu en 1995 toute l’étendue de la coopération de Vichy avec les nazis. Cela comprenait l’utilisation de la Ville de Hive, un stade de cyclisme en salle à Paris, pour détenir quelque 13 000 Juifs, dont 4 000 enfants, qui ont été internés et déportés dans les camps de la mort nazis. Environ 80 pour cent des enfants étaient français.

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